Gaspard Eden dévoile deux nouvelles chansons et un vidéoclip!

Après avoir dévoilé son premier single Nothing le 20 mars dernier, Gaspard Eden offre un aperçu convaincant de son album avec la sortie de deux nouvelles chansons. Soft Power, pièce-titre du LP et Pancakes nous plongent chacune à leur façon dans l'univers intime chargé d'émotions de Gaspard.




« Soft Power et Pancakes sont connectées par le fait qu'elles parlent toutes deux, d'une certaine façon, de ce désir de partager de l'affection. »


– Gaspard Eden

La pièce maitresse de l'album, Soft Power, se veut un message caché, un dialogue jonglant entre pulsions et plaisirs coupables qu'il semble défendu d'exprimer. Dans une ambiance aérienne marquée par des mélodies vocales éthérées bien à lui, Eden met l'accent sur l'incapacité d'incarner certains sentiments intérieurs.

Bien que plus candide musicalement, Pancakes, quant à elle, exprime avec une vulnérabilité assumée le besoin d'avoir une famille. Sa section rythmique fragmentée, ses lignes de guitares disloquées et ses chants de comptines à saveur power pop soulignent entre autres l'esthétique que l'innocence de l'enfance représente pour l'artiste. 

Gaspard Eden - Soft Power / Pancakes

 

UN VIDÉOCLIP POUR SOFT POWER

Gaspard Eden dévoile ausi un vidéoclip pour la pièce-titre de son album à paraitre plus tard cette année.

Dans le but avoué de créer un équilibre en offrant un regard plus ludique sur des sujets plus intimes, l’auteur-compositeur-interprète a fait confiance à l’artiste Charles O’Keefe pour créer une vidéo d’animation.

Ainsi, Gaspard Eden offre un court film coloré, essentiellement abstrait, dont les images évoluent rapidement au rythme de la chanson et des sentiments dont il y est question.

« Je pense que mettre des images sur du son est la chose la plus excitante pour moi », explique O’Keefe, « surtout pour une chanson qui parle de luxure et de désir. Ce sont de beaux sentiments, mais aussi un peu violents d’une certaine manière. Et j’ai essayé d’exprimer cette dualité avec des formes abstraites inspirées par des artistes tels que Jean Arp ou Alexander Calder, dont j’ai toujours trouvé les œuvres aussi belles qu’agressives ».